Vous les voyez partout. Ne les sentez nulle part. On les dit mauvaises parce qu’elles poussent toutes seules, spontanées, vivaces, indomptables. Un cortège de mal-aimés, chardons, orties, ronces et racines font la part belle au mûrier sauvage. Justice enfin rendue à ces herbes folles bannies des beaux quartiers.
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